Cette proposition se propose d’explorer les implications d’une approche didactique surtout orientée vers les actes de paroles et la construction de tâches en prenant appui sur le cas spécifique de la formation des psychiatres non-francophones. Le cas de la psychiatrie est intéressant car le langage est central : on soigne autant par les mots que par les médicaments ; mais dans le même temps, la diversité des approches psychothérapeutiques fait en sorte qu’une prise en charge du corps de métier s’avère nécessaire. Cette contribution entend montrer les difficultés dans l’application des principes du FOS et au besoin de proposer de les corriger.